vendredi 12 décembre 2014

Chiang Rai - Sukhothaï - Ayutthaya


La fin approche... Le rythme de déplacement commence à s’accélérer tandis que nous, nous
commençons à fatiguer. On veut rentrer vous retrouver.
Les rimes sont pourries, mais le cœur y est.


La famille Yamamura, des personnes intéressantes, drôles, touchantes et japonaises (pour Vincent, c'est le Saint Graal).
Déjà des amis =)




Chiang Rai, petite soeur de Chiang Mai est plus calme, plus campagnarde.
Maison d'hôtes de la semaine: Ban Lom Jen Homestay. Un havre de paix, à 15 km du centre, en pleine campagne. Le clou de la maison d'hôtes encore une fois, ce sont ses hôtes!
Son et Jan (un Néerlandais qui parle néerlandais à la vitesse de l'éclair) sont extraordinaires, tout simplement.
Les pains sont faits maison, le souper n'est pas à la carte. On mange la même chose qu'eux, on goûte la cuisine du terroir, on profite de leurs légumes, etc.
Trêve de blabla, place aux photos!




Petite terrasse avec vue imprenable sur un champ de riz coupé. 





On a mangé quelques légumes du potager de Son (délicieuses découvertes équilibrées).



Après avoir coupé le riz, ils tapent les "mottes" sur une bâche en plastique
pour en faire sortir les grains de riz.
Un labeur harassant sous une chaleur de plomb pour gagner 350 bahts la journée (un peu moins de dix euros).






Ban Lom Jen Homestay vue depuis le jardin en pleine nuit!
Exposition longue durée de l'appareil photos + pleine lune très brillante
= tadaaaaam!



"Petit"-déjeuner typique préparé par Jan: des oeufs (omelette, brouillés ou sur le plat), une tomate en rondelles, divers pains (parfois même des brownies maison, du cramique ou du pain au fromage), de la charcuterie et du fromage, trois sortes de confiture, un fruit (différent chaque jour), un jus de fruit (selon l'humeur du jour), de l'eau et du thé ou du café. 
Ce GRAND-déjeuner est mangé juqu'au bout par gourmandise pure et par amour du pain retrouvé après 2,5 mois de pain de mie en sachet plastique.





56°C aux Ban Phasoet Hot Springs. Cette source chaude est déconseillée à la baignade. D'autres, aménagées, sont plus accueillantes.



Le thé dans toute sa splendeur. (Tambon Doi Hang)





Un pont en bambou qui mène à une cascade.



Plus de 800 marches, ça use les genoux! (Doi Incee)



Tout ce sport pour voir Bouddha et se faire conduire dans une salle de classe de bouddhistes. (Doi Incee)




Un tableau bizarre dans la classe: des champignons, du travail au crochet et de la dentelle.



Un tableau un peu plus conventionnel.




La vue n'est pas dégueulasse, isn't it?




L'entreposage et l'aération du thé à la Singha Farm
(son équivalent serait une ferme Jupiler!)




Fleurs d'hibiscus.




Coco fait sa star...



Un temple tout de blanc et de miroirs vêtu. (Wat Rong Khun)




F***




CAROTTE



Le gobelet cône.




Vers le Doi Thung.




Dans le milieu, on me respecte.
Je suis...

Je suis Coco la Moutarde!



Un chemin de cloches qu'on peut faire sonner grâce aux bâtons qui se trouvent au début.



Si Coco aurait su, elle aurait pas venue!



Le Mékong (ou la Mae Khong, la mère des fleuves). Vue depuis la rive de Chiang Saen.



Le triangle d'or. Le lieu où se rejoint différents cours d'eau pour former le Mékong et délimiter naturellement trois pays (Laos, Birmanie, Thailande). 



Une échoppe de thé qui propose des dégustations à la carte avant achat. (Mae Salong)



Des asticots morts pour Vincent.





Vue sur Mae Salong.




Un car génial... 7h de musique thaïlandaise...
Nous vous laissons deviner notre épuisement psychologique après ce traumatisme.
(En route pour Sukhothaï)



Ca fait très officiel tout de suite!



"Et Coco, tu prends une photo?"



Les électriciens Thaïlandais à pied d'oeuvre.



Un casque à sa taille.



Le Wat Mahatat de Sukhothaï



À chaque pays sa tour de Pise.




Vincent en pleine discussion avec Bouddha.




Les fenêtres à une époque où le verre n'existait pas.






Dans les parcs d'attractions, il y a une taille minimum requise.
Dans les cars thaïlandais, il y a une taille maximum requise.



À Ayutthaya, sur le marché nocturne, on vend des chansonniers... 
On aime le karaoké jusqu'au bout!


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